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Le glas est sur le point de sonner

Les principes de Vies doivent être respectées. 

La vie, la seule, c'est elle qui nous présente cette réalité

Si l'art a une raison d'être c'est justement pour rappeler ces notions essentielles qui nous rendent dignes de l'habitat naturel qu'on nous a confié depuis quelques millions d'années.

Les chansons clament partout l'amour, mais on en fait quoi ? Les peintures montrent des paysages verdoyants, pour quelle raison ? L'humain peut sauver l'humain, probablement....
Et L'art y participe chaque jour. L'art sous toutes ses formes est le seul et le plus puissant des activistes !
Par le cinéma, la musique, tout ce qui touche le plus profond de l'être, hors de valeurs "capitalistes", les gens finiront peut-être par changer et penser à leur rôle réel dans ce monde, et non à eux seuls.

A coup d'électrochocs, les jeunes pourront choisir le bon chemin, ou pas.

Le texte qui suit est pour vous, et il est d'un auteur que vous connaissez bien.

 

Bonne lecture.

******************


« Tu as faim alors tu manges plus d’animaux que nécessaire sans te préoccuper de la maltraitance que cela entraîne. Tu as voulu faire un commerce fructueux de la vie végétale en l’empêchant de se développer à l’état naturel et de se diversifier et aujourd'hui, sois fier : ton « Monsanto » chéri contrôle aujourd’hui la totalité les récoltes mondiales grâce à la biotechnologie !

Tu ne sais pas ce que tu fais, et tu le fais très mal !

Je continue ?

Bien. Sans sourciller, tu as laissé l’exploitation textile chinoise se développer si bien qu'elle envahit les magasins au sacrifice d’enfants épuisés, amaigris et malades.

Tu en veux encore ?

Ok, Alors comment fait tu pour rester stoïque pendant que tu décimes la population congolaise en exploitant tes frères pour extraire mon coltant ? Tu exclavages tes semblables pour fabriquer des outils de « communication », c’est donc cela ta conception de « partage » ? Quelle ironie macabre ! plus de morts qu'à la plus grande de tes guerres !!

Et les guerres, sache que je les désapprouve aussi car il y a une règle immuable chez mes invités : personne chez moi ne s'octroie plus qu'il ne peut obtenir par ses propres moyens physiques.

La modernité, en mon sens n'existe pas quand elle est au dépend d'un peuple démuni. Qui peut disposer d’un autre de ses frères en toute impunité ? Crois tu que j'ai l'intention de te laisser faire ? C'est mal me connaître !

Et si je me faisais « juge » une fois ?

Oui, moi aussi je peux décider de « qui a le droit de profiter de mes bienfaits » et « qui doit mourir pour abus de position dominante ». Ce jour-là, viendras-tu me supplier pour avoir la vie sauve ? Mérites-tu vraiment de continuer à jouir de mes lacs, mes rivières et de ma végétation que tu foules avec tes chaussures manufacturées et tes gros engins immondes ?

Je vous ai offert à tous l’hospitalité, mais certains humains dont tu fais partie, ont choisis de d'exploiter leurs semblables comme bon leur semble, et disposer sans limitation de tout ce qui vit chez moi d’ailleurs ! Sans aucune honte, ni aucun respect pour la vie !

Et tu appelles cela l’évolution ?

Tu étais mon enfant. Tu étais destiné à découvrir le monde en marchant. C’était ça ton évolution, ta quête, ton chemin. Mais à cela tu as préféré le monde «marchand ». Le caoutchouc, le plastique, le métal, les engrais, les métaux : tout se vend, tout n’est que « finance », « rapport », « produit ». même la vie doit servir tes intérêts. Ton occident est avide de nourriture acides et putrides, tes objets dont tu es si fier ont l’odeur de la souffrance et de la mort.

Je n’irais pas plus loin dans la liste des désordres que tu as disséminé en quelques siècles seulement, et je constate avec amertume qu'il n’y a pas vraiment d’évolution dans ton comportement. C'est peine perdue.

En conclusion, sachant que tu sèmes le chaos chez moi comme un adolescent attardé, il est bien possible que je mette fin à ton bail de manière très brutale et sans préavis dans un avenir très proche.

Je réfléchis encore, mais pas très longtemps.

Signé : La terre