Artículo

Diffusion de musique en radio : mode d'emploi pour troubadours modernes


Ah, la radio… Ce doux mirage où résonne encore l’écho des années folles, des transistors sous les draps, et des animateurs à la voix de velours. Aujourd’hui, y faire passer sa musique quand on est un artiste indépendant relève souvent de l’exploit. Ou de la magie. À moins que… à moins qu’on ne connaisse le bon sésame : Ondomaniac Music.

T’as pas de label ? Pas grave, t’as du talent ? Parfait.


Ici, pas besoin d’un costard-cravate, d’un attaché de presse payé en lingots ou d’un compte TikTok avec 400K followers. Ce qui compte chez Ondomaniac, c’est le groove, le grain, le texte qui dit vrai. Une chanson bien ficelée, un enregistrement honnête, et hop ! Vous voilà en lice pour « La Tournée des Talents », l’émission qui fait swinguer les ondes FM sans passer par la case casting de télécrochet.

Les recettes d’un passage en radio réussi (sans chichis)


Pour être diffusé par Ondomaniac Music, il ne vous faut que quelques ingrédients :

  • Un morceau sincère (pas besoin d’une prod à 2 000 balles, mais évitez quand même les grésillements façon talkie-walkie).
  • Une bio simple, sans blabla inutile. Racontez qui vous êtes, pas ce que vous vendez.
  • Un brin d’audace et une envie de partager, pas juste de percer.

Le tout à envoyer via leur site ondomaniac.fr, et si la vibe passe, la radio fera le reste.

Une radio, mais aussi un petit monde


Ondomaniac, c’est aussi :

  • Un studio de mastering pour rendre vos sons plus brillants qu’un vinyle neuf.
  • Une radio en ligne, ouverte jour et nuit, pour les curieux insomniaques.
  • Une chaîne YouTube, pour montrer vos clips, vos coulisses, vos coups de gueule en do majeur.
  • Et surtout, une bande de passionnés, un peu fous, souvent bavards, toujours sincères.

Morale de l'histoire ...


Si la musique est votre muse, mais que les portes restent fermées, frappez chez Ondomaniac. Ils ne vous promettent pas la gloire instantanée, mais un vrai coup de projecteur. Et dans ce monde où tout va trop vite, c’est peut-être ce qu’il nous faut : des gens qui prennent le temps d’écouter.