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Category: Winston

Le point de non retour


By , 2020-09-24
Le point de non retour

Je ne vois toujours pas de malade, et moi-même je ne comprends pas  comment je m’y prends pour être en si bonne forme. Voilà 6 mois que je ne respecte aucune précaution supplémentaire dictée par cette CO-VI-D – Corona Virus Deasese. Au grand dam de mes semblables qui me regardent comme on regarderait « les amoureux des bancs publics » (G.Brassens)

J’observe, je scrute. Je ne vois vraiment toujours rien d’alarmant, rien qui a changé depuis des années. Ni chez les gens que je connais ni dans ce qu’ils me rapportent des prétendus effets du virus dont on nous rebat les oreilles depuis 6 mois maintenant. Il devrait tout de même y avoir quelque chose, des prémices ? des sursauts de malades ? au moins autour de moi ? Pas UNE de mes connaissances ? Non, rien. J’ai pourtant 3000 contacts dans mon répertoire, et je n'ai pas reçu un SMS « corona ».. pas un message « Whatzapp ». Pourtant  ils savent m’écrire quand le PSG perd contre l’OM… Tout cela est bien étrange mon cher Watson.

Je ne cesse d’observer ce qui m’entoure, j'enquête objectivement, et pourtant je n’entends personne se moucher, ni tousser depuis tellement longtemps. En fait je suis même étonné de voir si peu de monde malade. Peut-être même qu’il y en a moins que les années précédentes (ce qui serait cocasse). J’ai croisé ce matin mon voisin, ancien ingénieur de l’aéronautique de 92 ans, qui chante dans les escaliers. On s’est raconté une bonne blague. Il semble rajeunir de jour en jour et se fiche éperdument des recommandations sanitaire depuis le début. Il se plaint toujours de sa jambe. Mais j’ai bien regardé les symptômes, cela ne fait pas parti de la liste pourtant impressionnante des symptômes attribués à ce virus dit « pandémique ». Mon voisin ne semble pas non plus trop saisir la panique générale qui s’est emparée de la population. Il fait parti des 0.1% de gens insensibles à la machination.

Je suis allé par moi-même dans les hôpitaux pour vérifier ce que disent les médias : le deux hôpitaux que j’ai visité sont dramatiquement vides. On est reçu tout de suite. Ca a tout de même un coté pratique ! Il n’y a pas que du mauvais dans cette guerre.

La semaine dernière j’ai également consulté un médecin et j’étais seul dans la salle d’attente. Ce qui n’a pas empêché ce dernier de jouer les prédicateurs de malheur ! Je crois que mon médecin a lui aussi sombré dans ce monde inconnu, ce monde que je n’ai pas encore visité. 

Le rêve d'Alice

 J’ai envie d’appeler ce monde imaginaire qu’ils voient et que je ne vois pas : « le rêve d’Alice ». Un rêve où on va les intuber eux ou leurs parents. Un rêve où ils n’auront plus de souffle pour respirer. Dans ce monde qu’ils se sont fabriqué il y a des personnages sombres qui racontent des histoires effrayantes. Alice est horrifiée par moment, tétanisée par d’autres, se laissant entraîner dans cette histoire de plus en plus absurde. Mais de son point de vue, rien n’est absurde ! C’est normal de grandir, normal de rapetisser, normal de voir un lapin qui parle et des cartes qui forment une armée. Normal !!! Alice a peur que la moindre de ses actions entraîne un chaos. Elle se sent envahie par la peur, et la culpabilité. Elle se trouve inévitablement au centre de son histoire qu’elle invente en se torturant elle-même, EN SE TORTURANT ELLE-MËME !

Comme Alice, ces gens dans les rues que je vois, masqués, zombifiés, subissent cette histoire qu’ils se sont créée. Ce monde dans lequel ils dépendent à chaque fois que la "mauvaise augure" est diffusée par des voix à la télévision ou depuis des enceintes publiques. LA PEUR. La Peur des "Marcheurs" sans âmes qui se sont perdus dans ce monde imaginaire pour un temps indéterminé. Programmés pour réagir immédiatement au mot magique « coronavirus » ; ils se replongent quasi instantanément et sans difficulté dans le rêve d’Alice, un rêve dont ils sont désormais addicts. Les gens circulent toujours. La peur circule toujours dans la boucle infernale du pays des merveilles.

Alors oui j’ai peur. J’ai très peur. Non pas d'un pseudo "Virus". Mais j'ai peur de ce que je vois. Car c’est effectivement d'une contagion dont il s'agit. Mais une contagion des cerveaux. Je ne sais comment ni pourquoi j’en suis réchappé mais la chose est sûre : une grande majorité de mes semblables est contaminée par cette programmation de la terreur. Ceux qui sont atteints par cette folie collective seraient probablement incapables de comprendre les pages de ce journal que j'écris pour moi-même. Pour me souvenir. Eux ils n'auraient pas pu le lire jusqu'ici.

Le Point de non retour

Notre ministre fraîchement nommé annonce la fermeture temporaire  des bars, des restaurants, lieux publics et salles de sports « pour notre sécurité ».  Cette notion de « temporaire » pour nous faire accepter un contexte « DÉFINITIF » est d'une pratique banale à pleurer. Mais hélas tout le monde veut y croire, et tout le monde s’y fait prendre, à chaque fois ! Raison pour laquelle tout le monde obéira alors qu’il suffirait d’une chaîne de solidarité. Constituer un canal d'information, d’appels téléphoniques, de messages, de tracts, entre les établissements – ils se connaissent tous-  avec le mot d'ordre de ne rien appliquer du tout ! Que feraient les autorités en pareil cas ? Rien ! Elles n'en ont pas les moyens !  Elles s’en trouveraient désemparées !

En y réfléchissant bien il n'y a aucun risque que cela se produise car le rêve d’Alice est implanté bien profond dans la tête de 99.9 % des gens. Un rêve installé par la neuroscience du langage dans le "disque dur" du subconscient collectif et pour longtemps. Le nouveau monde ne reviendra plus vers l’ancien monde.  JAMAIS ! Car le point de non retour est franchi depuis le 17 mars 2020.  Alors je me pose la question : "Que vont faire les établissements face à cette décision ubuesque ?"  La réponse est évidente : ils vont préférer tout perdre. Parce qu'ils n'ont plus la force. La bassine est trop chaude pour en sortir (CF La grenouille et l'eau chaude). Les cerveaux sont inhibés, déresponsabilisés, et probablement traumatisés à vie. Jamais ils n'auront l'énergie vitale de tenter le tout pour le tout, ne serait-ce que pour avoir une infime chance de voir la fin de leur calvaire. Non, je le sais au fond de moi :  ils obéiront docilement. 

Cela aurait été pourtant si simple de résister. Et si héroïque aussi !! Et cela en aurait inspiré tellement d’autres, comme une réaction en chaine !  Mais non, je dois m’y résoudre, c’est fini. Ils ont gagné.

C’est ainsi que j’observe chaque jour, à chaque décision, le massacre de notre civilisation. Une destruction silencieuse et assumée qui s'accélère. Cela sans rien que je puisse faire. Impuissant, inconnu, seul dans le troupeau. Ecarté, rejeté par la grande masse des "obnubilés".

Et moi dans tout ça ? Il va falloir tenir... Mais comment ?

Seul restera ce journal. Témoignage des prémices de notre décadence.  Ce journal qui m’aide heure après heure à me souvenir quel était notre ancien monde.  Un monde où l’on sortait le samedi soir. Mais quelle utopie !? Sortir un samedi soir ? Se frotter et danser ?   Mais non, cela c’est fini, on le sait tous voyons !! Soyons raisonnables, hein Alice ?

2020 – 09/23  -   Winston S
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Le nouveau monde


By , 2020-09-12
Le nouveau monde

Il sera impossible de retrouver nos codes sociaux qui étaient jadis si chaleureux et plein de sens.

Ces codes existaient depuis bien longtemps, depuis l’aube de l’humanité en fait. Mais ils s’effacent de notre mémoire. Je résiste, mais combien de temps ? je ne sais pas.

Une civilisation entière est en train de se faire conditionner dans  une sorte de "croyance", une maladie martelée toutes les 5 minutes dans les écrans du monde entier. Obscurcir les esprits, les étourdir, et les empêcher de penser, tel est le nouveau monde pour les hommes de notre planète.

 Partout, dans tous les affichages, les couloirs de métro, les abribus, et même pendant les spots météo il est bon de rappeler qu’un « virus est toujours là » Un virus, mais pas de morts –(ou presque).  Les malades de toutes natures servent la cause. Il faut à tout prix justifier le « bilan de la peur ». Et même si c’est grotesque, cousu de fil blanc, on y croit un peu, on tend une oreille, puis deux…

« Résiste » me dis-je « résiste », mais je sens que je faiblis, inexorablement, et que je serai bientôt sous leur contrôle.


Combien de temps encore ?

On vit une horreur, je le sens dans ma chair, dans mon corps, je ne vis plus dans la quiétude. Mon sommeil est parasité, mes relations amicales s’assombrissent. Je suis abandonné par les ex-amis, désormais convertis en religieux du COVID, ces amis qui ont choisi de suivre les ténèbres comme on suivrait un gourou ou une célébration.


Moi Je résiste encore, j’essaie comme je peux, mais je vois la matrice si près et si tentante.
Après tout je n’aurai qu’à me laisser bercer, porter un masque sur le visage, anonyme, discret, vertueux, suivre la file, ne plus dire bonjour, donner des coudes et des « check », aller où on me dit d’aller, parce que la parole est tellement bienveillante, n’est-ce pas ?
Pourquoi ne pas accepter cette nouvelle famille des « mouchoirs bleus » ?… non pas ça… pas maintenant ! Pas encore ! La vie est si belle !!  Je ne peux m’y résoudre, une étincelle de vie me retient encore dans le monde des vivants.

Des milliers d'années que les hommes se touchent, se prennent dans les bras chaleureusement, se serrent la main.... même chez les tribus amazoniennes, même dans les images rupestres que l'on trouve gravées dans les grottes on ne se  lasse pas de se frotter les uns aux autres. Chez les animaux, les mammifères tout n'est que "contact". Cela je le sais. J’en suis sûr. Alors pourquoi je me mets à douter soudainement ?

Pour fuir tout ça je regarde des films sur la nature, des paysages, et j’oublie un instant, pour vider ma pauvre tête farcie d’interdits. 

Alors c’est donc vrai ? Cette humanité si joyeuse va donc disparaître ? Tranquillement, sans que personne ne s’en rende compte sauf moi ?

Par moment je me sens comme « violé » car l'être spirituel que je suis est convoité par des non-humains. On veut vendre mon corps contre des rites inventés par des non-humains. Actuellement je pense qu’ils sont malveillants, mais qui sont ils ? Ceux qui ont une si jolie voix dans les haut-parleur ?  « Protégez vous, aimez vos proches mais pas de trop près ».

Dois-je les écouter ou les rejeter ? « RESISTE !! RESISTE !!! »

Naguère, il n'y a pas si longtemps -je ne sais plus... cela semble si loin- certains amis avaient une belle fougue, une sève incontestable. Ceux-là mêmes sont désormais tombés dans l’entonnoir de la peur. Je ne vois plus briller leurs yeux. Ils ne sont plus eux-mêmes, ils se protègent de tout sans savoir pourquoi ni pour combien de temps. Ils ont « accepté ».
Ils comptent les « clusters », les « hospitalisés » pour se rassurer qu’il y a vraiment un fléau au dessus de leur tête. Ce fléau que je ne vois pas mais qu’ils ont réussi à matérialiser à force d’écouter les sirènes rassurantes, et ces jolies voix qui veulent nous sauver de la mort. Je pense que c’est tout le contraire. Je résiste. Je résiste.

Alors ces amis ne me donnent plus que du « check » et du « coude » ... mais ils le font en leur âme et conscience. Pour le bien des autres, parce qu’ils prétendent que ce sont « eux qui l’ont décidé », on ne leur a rien dicté, ils l’ont voulu !!  Enfin c’est ce qu’ils disent. Cette idée ne leur est pas venue par hasard pourtant il me semble ? Terrifiant ce pouvoir de l’autosuggestion quand on le voit à l'oeuvre.

Des amis très intelligents se sont eux aussi fait prendre dans ce sommeil hypnotique qui vous enveloppe dans sa coquille rassurante. Ils sont entrés dans la matrice et m’ont quitté. Ils ne me regardent plus, ne m’écoutent plus. Je les ai perdu. Mais je peux toujours les rejoindre : je n’ai qu’à me laisser porter par ce sommeil hypnotique, alors moi aussi je porterai ce masque, car j’aime ces belles phrases comme "c'est pour le respect de l'autre" … Je résiste.  Oui car une petite lumière me dit que ça n’est pas « normal ». Surtout que ces phrases ne sont pas de moi, ne  peuvent pas être « humaines » elles m’ont seulement été insufflées jour après jour par d’autres, par des non-humains. Elles ne doivent pas faire partie de moi !

Pour ne pas plonger, je pense à mon grand père, ma grand-mère. Eux ne m’ont jamais dit de ne pas les enlacer. Personne ne m’a jamais dit cela en dehors de ces spots publicitaires et de ces voix numériques au travers d’écrans.  

Alors je reprends des forces, je résiste parce que je sais au fond de moi qu’il ne faut pas les écouter, ces belles voix. Je sais cependant que beaucoup ont déjà accepté l’inacceptable. 

Comment ferai-je pour résister, moi ?
Combien de temps resterai-je conscient avant de mourir avec eux ?

J’ai vraiment compris aujourd’hui que nous allons tous progressivement être détruits de l'intérieur, et ne plus exister.

2020 – 09/12  -   Winston S.

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